Quand Moise Sfez cuisine des sandwiches au Parc des Princes, c’est la bouffe de stade qu’on mérite

Quand Moise Sfez cuisine des sandwiches au Parc des Princes, c’est la bouffe de stade qu’on mérite

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© Julien Cussel

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Par Abdallah Soidri

Publié le , modifié le

Le chef et entrepreneur Moise Sfez a investi la loge All au Parc des Princes pour préparer ses célèbres sandwiches.

Quiconque a déjà mis un pied dans un stade de foot sait qu’il est difficile de bien manger. À l’exception du sandwich-merguez réconfortant des championnats jeunes et amateurs, ceux des enceintes des clubs professionnels sont souvent fades et au rapport qualité-prix douteux. Mais la bouffe de stade n’a pas à être aussi rustre pour nos palais. Encore plus pour le sandwich, véritable monument de la culture culinaire française.

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Ce dimanche, pour le match entre le PSG et l’OL au Parc des princes, le groupe All, programme de fidélité du groupe Accor et partenaire du club de la capitale, a invité Moise Sfez pour assurer la partie restauration. Au menu, on vous le donne en mille : des sandwiches. Avec ses équipes, le fondateur de Homer Food Group a délocalisé la cuisine de ses restaurants pour gratifier les heureux présents de ses créations au pain brioché.

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Pour nous, il s’agit d’un premier contact avec l’univers culinaire de Moise Sfez. Alors que le PSG a déjà fait le boulot à la mi-temps (4-1), on regagne la loge pour le dîner. Le cuisinier chef d’entreprise s’affaire avec ses équipes pour dresser une fournée de hot-dogs revisités. La touche sucrée du pain se marie à merveille avec la saucisse de volaille et les sauces. On dit que la première impression est importante : ces premières bouchées sont une réussite.

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On n’est pas encore rassasiés — il faut dire qu’on est plus sur du micro-sandwich que le gros casse-dalle maison —, on enchaîne donc avec un second sandwich, à la crevette cette fois, pas vraiment un ingrédient sur lequel on se rue en général. Parfaitement préparé et saucé, on est là aussi conquis.

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On retourne regarder la suite du match le ventre plein et avec la certitude que la bouffe de stade mérite ce genre de traitement.